Toute la journée (10h à 18h) :
Chacun pose une fleur, disponible sur place, en mémoire de son tout-petit. Se rajoutent au bouquet toutes les fleurs commandées sur notre site www.unefleurunevie.org
Lisa, Axel, Sacha, petit cœur… Chacun peut inscrire le nom de son tout-petit sur un papier coloré et le placer sur un grand panneau. Se rajoutent les prénoms précisés lors des commandes de fleurs sur le site web du collectif.
Les associations du collectif « Une fleur, une vie » : AGAPA, L’enfant sans nom – Parents endeuillés, Naître et Vivre et SPAMA sont à la disposition de celles et ceux qui souhaitent parler ou se renseigner sur un accompagnement possible.
Seul ou en famille, sur le parvis, vous pourrez contribuer à la réalisation d’une création collective proposée par Jehanne Vion et Emmanuelle Abgrall, art-thérapeutes.
Une feuille de papier se plie et se ferme pour créer un petit cahier en forme de cœur, ou de polygone. On rajoute un papier plus épais pour faire une jolie couverture. Proposition d’écrire à l’intérieur des mots qui nous ont aidés.
Un atelier introduit en 2016, devenu incontournable ! Il s’agit de fabriquer et personnaliser un cœur en tissu, à garder comme souvenir de la journée. Aucun prérequis n’est nécessaire.
Un geste qui fait du bien. Comme cadeau tout simplement à s’offrir, à vous offrir.
Pour les enfants : un atelier autour du nouveau cahier de dessin conçu et réalisé par l’association SPAMA. « Panda » invite l’enfant à s’exprimer à sa façon à travers ses dessins, coloriages ou mots selon l’âge de l’enfant. Animé par une psychologue animatrice de groupe d’enfants endeuillés.
Les parents l’expriment souvent : la douleur ressentie après la perte de leur tout-petit est renforcée par le silence de l’entourage, le manque de présence, de reconnaissance, de mots. Catherine Radet est sensible à cette réalité et plus particulièrement en milieu hospitalier où elle exerce depuis de nombreuses années en tant que pédiatre. Dans cette conférence, elle expliquera les particularités du deuil périnatal et pourquoi il est plus difficile à comprendre qu’un autre deuil ? Elle proposera de réfléchir à la fragilité, la vulnérabilité que ce deuil fait vivre et de cette quête de sens qu’il (peut) imposer.
Catherine Radet est médecin pédiatre à l’hôpital de Cholet et auteure de « Je n’ai pas dit au revoir à mon bébé »(éd. Quasar, 2017)
Une animation est prévue pour les enfants qui le souhaitent pendant la conférence.
Les bénéfices de la journée « Une fleur, une vie » sont reversés aux associations du collectif : AGAPA, l’Enfant sans nom – Parents endeuillés, Naître et Vivre, SPAMA, qui accompagnent des parents endeuillés tout au long de l’année.